
NÉVROSES NOCTURNES · SNOBIBITCH (JE M’ENNUIE) 💅
Nouvelle collaboration avec @nevroses.nocturnes (aka @1620line et @kelyboy_music) pour leur single « Snobibitch (Je m’ennuie) ».
Ce morceau exprime un sentiment universel, accentué par des phrases-clés que nous avons toustes déjà prononcées : l’ennui lucide, qui s’installe dans des lieux et des soirées sans saveur — cette fatigue sociale à la fois banale et profondément partagée. C’est tout ce que j’ai cherché à retranscrire visuellement.
Nouvelle collaboration avec @nevroses.nocturnes (aka @1620line et @kelyboy_music) pour leur single « Snobibitch (Je m’ennuie) ».
Ce morceau exprime un sentiment universel, accentué par des phrases-clés que nous avons toustes déjà prononcées : l’ennui lucide, qui s’installe dans des lieux et des soirées sans saveur — cette fatigue sociale à la fois banale et profondément partagée. C’est tout ce que j’ai cherché à retranscrire visuellement.


« C’était l’idée de qui déjà cette soirée ? »
La cover prolonge l’univers visuel rétro 80s/90s initié avec le précédent single « J’ai maté ton cul », tout en en inversant l’énergie : à l’ambiance séductrice succède ici une lassitude assumée. On y retrouve la silhouette métallique déjà emblématique, cette fois vue de plus loin, allongée dans une posture de nonchalance sculpturale. Sa surface chromée reflète les néons magenta et violets, absorbant l’atmosphère artificielle d’un décor de club. En arrière-plan, le logotype « Névroses Nocturnes » brille comme une enseigne lumineuse, accompagné du titre massif en capitales au premier plan : un duo graphique qui reprend les codes des clubs commerciaux — séduisants et colorés en façade, mais creux de substance. Comme dirait Caro : « en fait, je crois que j’aime pas les soirées techno ».
🎧 Les deux titres sont disponibles dès maintenant sur toutes les plateformes de streaming !
La cover prolonge l’univers visuel rétro 80s/90s initié avec le précédent single « J’ai maté ton cul », tout en en inversant l’énergie : à l’ambiance séductrice succède ici une lassitude assumée. On y retrouve la silhouette métallique déjà emblématique, cette fois vue de plus loin, allongée dans une posture de nonchalance sculpturale. Sa surface chromée reflète les néons magenta et violets, absorbant l’atmosphère artificielle d’un décor de club. En arrière-plan, le logotype « Névroses Nocturnes » brille comme une enseigne lumineuse, accompagné du titre massif en capitales au premier plan : un duo graphique qui reprend les codes des clubs commerciaux — séduisants et colorés en façade, mais creux de substance. Comme dirait Caro : « en fait, je crois que j’aime pas les soirées techno ».
🎧 Les deux titres sont disponibles dès maintenant sur toutes les plateformes de streaming !


